Jai dit à ma mÚre que j'avais fait l'amour avec mon copain Fermé . Julie_Rsc Messages postés 65 Date d'inscription mardi 22 janvier 2013 Statut Membre DerniÚre intervention 17 avril 2013 - 10 mars 2013 à 18:58 ^^Marie^^ Messages postés 113926 Date d'inscription mardi 6 septembre 2005 Statut Membre DerniÚre intervention 28 août 2020 - 10 mars 2013 à 19:02. Bonsoir, Je
Life 03/06/2017 0843 ValĂ©rie pensait que le plaisir n'Ă©tait pas fait pour elle. Getty Images HĂ©tĂ©rosexuelle, ValĂ©rie a goĂ»tĂ© au plaisir sexuel dans les bras de sa voisine Getty Images SEXE- MariĂ©e Ă un homme depuis des annĂ©es, ValĂ©rie n'a eu son premier orgasme qu'Ă 35 ans... Dans les bras de sa voisine. Les propos de cette histoire ont Ă©tĂ© recueillis par la rĂ©daction de et retranscrits Ă la premiĂšre personne. Les premiĂšres lueurs du jour me rĂ©veillent doucement. Le corps engourdi, mais Ă©trangement apaisĂ©, je flotte entre le rĂȘve et le sommeil. J'ai mal au crĂąne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapĂ© du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminĂ©e. Je ne sais plus quelle heure il Ă©tait quand ça a basculĂ©, ni comment ça s'est passĂ©, ni qui a commencĂ© rĂ©ellement. Je revois juste nos corps nus, fĂ©briles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça. Pour la premiĂšre fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hĂ©tĂ©ro, je le sais. Et, mĂȘme lĂ , je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe Ă©taient rĂ©servĂ©es aux autres... Ce matin-lĂ , troublĂ©e et heureuse de l'ĂȘtre, j'ai su que je m'Ă©tais trompĂ©e. Moi aussi, je pouvais. J'ai grandi dans une famille oĂč le sexe n'Ă©tait pas tabou il n'Ă©tait pas, voilĂ tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur Ă leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se dĂ©tendre, goĂ»ter le bonheur d'ĂȘtre Ă deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mĂšre ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes rĂšgles, elle m'a giflĂ©e chez ses parents, paysans, c'Ă©tait la tradition, paraĂźt-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la pubertĂ© qui me tombe dessus... Ma grand-mĂšre, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa duretĂ© qui Ă©touffait tout ce qui aurait pu ressembler Ă du plaisir ou Ă de la sensualitĂ©. Une premiĂšre fois, ni bonne ni mauvaise Au lycĂ©e, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait Ă partir en internat. Loin des miens, j'ai dĂ©couvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient draguĂ© celui-ci, embrassĂ© celui-lĂ ... Et elles ne brĂ»laient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'Ă©tait la boum de fin d'annĂ©e, j'Ă©tais en seconde, lui terminait son CAP, mais il Ă©tait plus ĂągĂ© et plus expĂ©rimentĂ© que moi. Il m'a invitĂ©e Ă danser et m'a embrassĂ©e. Plus prĂ©cisĂ©ment, il a enfournĂ© sans aucun prĂ©alable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait Ă©tĂ© plus appĂ©tissante. J'ai dĂ©testĂ© et me suis enfermĂ©e dans les toilettes pour le reste de la soirĂ©e. Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, trĂšs discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilĂ nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycĂ©e s'intĂ©ressent Ă moi, ça me met mal Ă l'aise. Le regard noir de ma grand-mĂšre me l'a fait comprendre j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent Ă mettre des jupes, Ă me maquiller. J'envie leur lĂ©gĂšretĂ©, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre Ă elles pour fĂȘter notre bac au bord de la mer, je fonce. Ă l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances Ă des enfants dĂ©favorisĂ©s. Mais, quand les petits sont couchĂ©s, c'est la fĂȘte pour les animateurs. Un soir, je dĂ©cide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraĂźne vers la plage. Pas anxieuse, dĂ©terminĂ©e il me paraĂźt inconcevable d'entrer vierge Ă la fac. Ma premiĂšre fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expĂ©rience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Ăvidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui Ă pleins poumons. Il se prĂ©occupe seulement de son plaisir Les annĂ©es de fac, de ce point de vue-lĂ , ne sont pas celles que j'espĂ©rais on ne change pas une Ă©quipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraĂźtre trop libĂ©rĂ©e ; honte avec mes amies de paraĂźtre trop coincĂ©e. RĂ©sultat, je ne parle de mes doutes Ă personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour oĂč j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment Ă chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'Ă©vacue une partie du problĂšme la rencontre amoureuse en me mariant avec le premier venu. Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaĂźt. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de maniĂšres. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. PassĂ© les quelques mois de lune de miel, la sexualitĂ© avec Sylvain se rĂ©duit Ă la portion congrue... de son plaisir. Il me pĂ©nĂštre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayĂ© de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il Ă©vacue "Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mĂšre, ça doit ĂȘtre de famille..." Je me demande comment j'ai pu supporter ça. Comment deux enfants ont pu naĂźtre de cette union boiteuse. Mais mes parents m'avaient inculquĂ© le sens du devoir... Ă 35 ans, l'Ă©pouse et mĂšre que j'Ă©tais ne pouvait pas se plaindre. Et puis Sylvain est mutĂ© Ă l'autre bout de la France. Nous atterrissons dans un bled paumĂ©, Ă des centaines de kilomĂštres de mes amies... Ă quelques mĂštres de Marie. Comme moi, elle est souvent seule le soir - son mari est commercial, toujours sur les routes. Comme moi, elle est timide et solitaire. Mais, entre elle et moi, le courant passe immĂ©diatement. Le soir oĂč elle frappe Ă ma porte, c'est parce que, sortie en trombe de chez elle pour faire une course, elle a oubliĂ© ses clĂ©s Ă l'intĂ©rieur... Ăvidemment, je lui propose de passer la nuit Ă la maison, en attendant que son mari rentre. 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jai rĂȘvĂ© cette nuit que jâavais envie de faire lâamour avec ma mĂšre. Jâai 70 ans, notre mĂšre est dĂ©cĂ©dĂ© en 1987. Jâai souvent lâimpression dâĂȘtre refoulĂ© sexuellement, ça me fait terriblement souffrir. Ce rĂȘve semble me libĂ©rer dâune partie de ce refoulement, comme si les portes sâouvraient pour pouvoir faire face PubliĂ© le mardi 24 Juillet 2018 Ă 11h42 Ce Britannique de 29 ans a livrĂ© son tĂ©moignage dans le magazine The Sun. Il a expliquĂ© avoir des relations sexuelles rĂ©guliĂšres avec la grand-mĂšre de son meilleur ami. Le jeune homme trĂšs vite tombĂ© amoureux dâelle, au point de ne plus vouloir la quitter. Maintenant je veux passer chaque minute avec elle et je veux que nous puissions vivre ensemble, en couple. », a-t-il dit. Image dâillustration - Photo News Ă 29 ans, il a un bon travail et est fort entourĂ© par ses amis et sa famille. Il semblerait donc que le jeune homme ait tout pour ĂȘtre heureux, mais non⊠Jâai rencontrĂ© la grand-mĂšre de mon meilleur ami Ă une fĂȘte de famille chez lui. Je ne pouvais pas le croire quand elle mâa dit quâelle avait 64 ans. Elle avait lâair beaucoup plus jeune. », a-t-il commencĂ©. Ils ont tout de suite sympathisĂ©. La mamy lui a mĂȘme suggĂ©rĂ© de lâappeler quand il le voulait et lui a proposĂ© de passer prendre un cafĂ© nâimporte quand. Câest ainsi que tout a commencĂ©. Ils ont commencĂ© Ă Ă©changer de nombreux appels et Ă passer des soirĂ©es ensemble. Quelques mois plus tard, Ă lâanniversaire de la sĆur du meilleur ami, ce dernier lui a demandĂ© Est-ce que tu peux arrĂȘter de tourner comme ça autour de ma mamy ? Ăa commence Ă me faire flipper mec ». Le jeune homme a tentĂ© de sâĂ©loigner, mais pour toujours revenir. Et puis vient ce jour oĂč la grand-mĂšre lui a dĂ©voilĂ© ses sentiments. Elle a mĂȘme expliquĂ© vouloir garder le silence pour ne pas incommoder son petit-fils. Avec lâexcitation, nous Ă©tions tous les deux sur la lune. », confiait-il. Plus tard, sa petite amie de lâĂ©poque a dĂ©cidĂ© de mettre un terme Ă leur relation. Ce fut le dĂ©clic ; il rĂ©alisait que grĂące Ă son dĂ©part, il allait enfin pouvoir passer du temps avec la femme quâil aimait depuis des mois. La premiĂšre fois que nous avons fait lâamour câĂ©tait si spĂ©cial que je pensais que jâallais fondre », a-t-il livrĂ© dans son tĂ©moignage. Les deux tourtereaux ont eu le courage de se dire Je tâaime » au cĆur dâune promenade au bord dâune riviĂšre. Maintenant, je veux passer chaque minute avec elle et je veux que nous puissions vivre ensemble, en couple. », a-t-il ajoutĂ©. Conscient quâil pourrait perdre son meilleur ami, que ses parents le renieraient sĂ»rement et quâil perdrait toute crĂ©dibilitĂ© au travail, ce jeune homme est perdu. Je suis dĂ©chirĂ© en deux avec des dĂ©cisions et je passe tout mon temps Ă ne pas mâinquiĂ©ter de notre avenir. », concluait-t-il. Peut-ĂȘtre quâil sâagirait plus dâun fantasme quâautre choseâŠ